Publié : 02 juillet 2008, 15:12
Cherchons à cerner les raisons de cette érosion afin de voir s'il apparaît des mesures susceptibles de l'enrayer.
En essayant, à partir de ces tranches d'âge, de faire des catégories, on constate que :
- chez les jeunes adultes (de 20 à 39 ans), l'érosion est de 31 % (idem de 20 à 29 ans) ;
- chez les quadras quinquas, l'érosion est de 23 % ;
- chez les séniors (de 60 à 79 ans), l'érosion est de 7 %.
S'agissant du non renouvellement des adhésions des actifs, les explications pourraient relever essentiellement des changements de plus en plus fréquents :
- de situation familiale,
- de situation professionnelle,
- de lieu de résidence,
et, dans une bien moindre mesure, des raisons parfois évoquées :
- de cotisation élevée,
- d'offre de sorties insuffisante (par exemple à la journée en randonnée pédestre),
- d'évolution rapide des goûts et des besoins.
S'agissant du nombre de nouvelles adhésions insuffisant pour au moins compenser les départs, on peut imaginer les explications suivantes, liées entre elles :
- la concurrence entre les associations de plus en plus nombreuses,
- une cotisation jugée trop élevée par ceux qui n'ont pas la vocation à aller en montagne,
- un marketing insuffisamment dynamique,
- une réputation exagérée,
et, dans une bien moindre mesure, des raisons parfois évoquées :
- de désaffection pour la vie associative,
- d'augmentation de l'individualisme,
- d'esprit plus consommateur que participatif.
Que penser de ces explications ? De leur hiérarchisation ? Y en a-t-il d'autres ?
En essayant, à partir de ces tranches d'âge, de faire des catégories, on constate que :
- chez les jeunes adultes (de 20 à 39 ans), l'érosion est de 31 % (idem de 20 à 29 ans) ;
- chez les quadras quinquas, l'érosion est de 23 % ;
- chez les séniors (de 60 à 79 ans), l'érosion est de 7 %.
S'agissant du non renouvellement des adhésions des actifs, les explications pourraient relever essentiellement des changements de plus en plus fréquents :
- de situation familiale,
- de situation professionnelle,
- de lieu de résidence,
et, dans une bien moindre mesure, des raisons parfois évoquées :
- de cotisation élevée,
- d'offre de sorties insuffisante (par exemple à la journée en randonnée pédestre),
- d'évolution rapide des goûts et des besoins.
S'agissant du nombre de nouvelles adhésions insuffisant pour au moins compenser les départs, on peut imaginer les explications suivantes, liées entre elles :
- la concurrence entre les associations de plus en plus nombreuses,
- une cotisation jugée trop élevée par ceux qui n'ont pas la vocation à aller en montagne,
- un marketing insuffisamment dynamique,
- une réputation exagérée,
et, dans une bien moindre mesure, des raisons parfois évoquées :
- de désaffection pour la vie associative,
- d'augmentation de l'individualisme,
- d'esprit plus consommateur que participatif.
Que penser de ces explications ? De leur hiérarchisation ? Y en a-t-il d'autres ?